Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Burkina Faso    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Ouverture du XVe congrès ordinaire de l’ADF-RDA sous le signe de la transition politique au Burkina
Publié le samedi 15 mars 2014   |  AIB


Photo
© Autre presse par Tass Tass
Photo de famille à l`issue de la cérémonie d`ouverture du 15e congrès ordinaire de l`Alliance pour la démocratie et la fédération/ Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA) et du Forum libéral le 14 mars 2014 à Ouagadougou


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Ouagadougou – Le XVe congrès ordinaire de l’Alliance pour la démocratie et la fédération/Rassemblement Démocratique Africain (ADF-RDA, mouvance), s’est ouvert vendredi conjointement au Forum libéral à Ouagadougou sous le thème « l’ADF-RDA face aux défis de la transition politique et du renforcement de la démocratie au Burkina Faso », a-t-on constaté.

Les 72 heures du Forum Libéral vont porter sur « les transitions démocratiques et les alternances au pouvoir en Afrique et au Burkina en particulier », a indiqué le président du réseau Libéral Africain, Olivier Kamitatu.

Selon lui, « ceux qui nous dirigent dans beaucoup de pays africains caressent encore l’espoir de prolonger leurs mandats au delà des limites inscrites par la loi » et l’analyse de la situation politique actuelle au Burkina fait ressortir que, « le pays est à la croisée des chemins », a-t-il ajouté.

L’atmosphère politique est tendue entre partisans et opposants à la candidature en 2015 du président Blaise Compaoré, frappé par une interdiction de la Constitution que les premiers appellent à modifier.

« Tout le monde entier observe le Burkina […] Le chemin que vous allez emprunter vas influencer positivement ou négativement tout le continent africain », a soutenu Olivier Kamitatu.

Le président de l’ADF/RDA, Me. Gilbert Noël Ouédraogo a réaffirmé le refus de son parti à une éventuelle modification de l’article 37 de la Constitution (portant sur le nombre de mandats présidentiels), mais s’est dit favorable à une transition démocratique et à l’opérationnalisation « d’un Sénat aménagé » (que l’opposition politique rejette farouchement).

L’ouverture de cette rencontre statutaire a connue la participation des représentants des partis « frères libéraux » venus de la Côte d’Ivoire, de la Guinée, du Mali, de la République Démocratique du Congo, du Sénégal et de partis politiques burkinabè.

NDT/TAA

 Commentaires