Après l’échec de la tentative de médiation de l’ancien président Jean Baptiste Ouedraogo, c’est un retour à la case départ au Burkina Faso. La majorité présidentielle et l’opposition préparent la conquête des militants en vue de la prochaine étape : la tenue ou non d’un referendum sur la question d’une révision constitutionnelle.
Pour l’opposition, réunie au autour du chef de file, l’état-major permanent de crise se réunira et adoptera un calendrier d’activités. L’objectif principal de cette future stratégie est empêcher la tenue d’un référendum au Burkina Faso jusqu’à la fin du mois de juin 2014. « Au-delà cette date, il serait difficile de réviser les listes électorales et organiser un referendum dont les résultats seront acceptés par tous », prévient un membre de la délégation de l’opposition ayant participé à la dernière tentative de négociation.... suite de l'article sur RFI