Ouverture de la troisième édition des Journées cinématographiques de la femme africaine de l’image #aOuaga

Art et Culture

Ouverture de la troisième édition des Journées cinématographiques de la femme africaine de l’image

Publié le mercredi 5 mars 2014 | AIB

© aOuaga.com par A. O
Fespaco 2013 : Le comité d`organisation face à la presse
Photo : Le Directeur générale Michel Ouedraogo

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3e édition de la Semaine nationale des arts culinaires burkinabè

- 25/1/2014

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Activités artistiques et culturelles 2014

Ouagadougou – La troisième édition des Journées cinématographiques de la femme africaine de l’image(JCFA) organisée par le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO, a ouvert officiellement ses portes hier lundi, dans la capitale burkinabè, a constaté l’Agence d’information du Burkina.

Plusieurs professionnelles de l’image venus de l’Afrique (Bénin, Niger,RD. Congo, Cameroun et du Burkina), de la Martinique, de la Guadeloupe, des Etats –Unis et du Brésil, vont jusqu’au 7 mars partager leur expériences avec les cinéphiles burkinabè et étrangers dans le cadre des Journées cinématographiques de la femme africaine de l’image(JCFA).

Divers films avec des thèmes variés seront projetés dans les salles de cinéma de Ouagadougou et de Banfora (Ouest), ville qui abritera le 8 mars prochain au Burkina, la célébration de la journée internationale de la femme, a indiqué le DG du FESPACO, Michel Ouédraogo.

Selon M. Ouédraogo, la rencontre se veut un cadre d’échanges et de promotion du cinéma burkinabè et la présence de la diaspora à ces JCFA, permet de faire du 7e art, une référence régionale et internationale.

De l’avis du ministre de la Culture et du Tourisme Baba Hama, la 3e édition des JCFA témoigne de la maturité d’esprit et du professionnalisme au regard de la qualité des thèmes des différentes rencontres et des films qui seront présentés au public.

Le ministre Hama a en outre précisé que les activités se sont enrichies cette année, grâce à l’apport des femmes cinéastes de la diaspora et de l’Europe qui sont venues communier et partager leurs expériences.

Et d’ajouter que les JCFA invitent les professionnelles africaines et burkinabé à s’engager dans la voie de l’entreprenariat pour mieux maitriser les enjeux de la production et de la distribution des œuvres cinématographiques et audiovisuelles.

« Nous sommes persuadés que l’Afrique ne peut pas se passer de votre regard, de votre point de vue et de votre sensibilité », a-t-il dit aux professionnelles du 7ème art.

Le Burkina Faso est une plaque tournante de la culture et du cinéma en Afrique avec l’organisation biennale du FESPACO et du Salon internationale de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO).

NO/TAA

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