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1re édition du FESPHO : c’est parti pour trois jours de questionnements sur le photojournalisme
Publié le mardi 25 fevrier 2014   |  aOuaga.com


Festival
© aOuaga.com par Séni Dabo
Festival de photojournalisme : c`est parti pour la première édition
Mardi 25 février 2014. Ouagadougou. La première édition du photojournalisme de Ouagadougou (FESPHO) a ouvert ses portes à l`Institut français pour 48 heures sous le thème "Inscrire le photojournalisme au coeur de la pratique journalistique"


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La première édition du Festival de photojournalisme de Ouagadougou (FESPHO) se tient du 25 au 27 février 2014 à l'Institut français de la capitale burkinabè. Elle est placée sous le thème "Inscrire le photojournaliste au coeur de la pratique journalistique" et le parrainage de la présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC), Béatrice Damiba.


Le programme de ce festival qui se veut annuel prévoit des débats et des échanges sur le photojournalisme. Ainsi, des thèmes comme "Origines et bases de la photographie", "Histoire du photojournalisme et son enseignement à l'université de Ouagadougou", "Régulation médiatique de la photo" ou encore "Photographie de presse et droits d'auteur" seront développés à travers des communications données par des spécialistes. Le FESPHO, ce n'est pas uniquement les échanges. Il y a également une exposition photo de 44 oeuvres de 17 photographes retenus après un appel à candidature. Le public peut voir leurs oeuvres portant sur divers thèmes dans la cour de l'Institut français de Ouagadougou durant tout le festival. Un pendant de l'exposition est le prix FESPHO mis en jeu pour récompenser les trois meilleures oeuvres exposées par un jury de professionnels de la photo.

Les échanges proprement dit et le vernissage de l'exposition ont été précédés d'une cérémonie d'ouverture du festival. Elle a été présidée par la représentante de la marraine en la personne de Mariama Konaté/Diallo, chef du département de la documentation et des archives du CSC. Dans son discours d'ouverture, elle a souligné que le FESPHO "se révèle être un cadre approprié pour échanger entre acteurs de la communication, le public et les différentes parties prenantes" sur les questionnements, les interrogations sur le photojournalisme. Elle a dit être convaincue que des pistes de solutions concrètes pour un photojournalisme véritablement au service de la presse seront tracées à la faveur des différents débats.

Auparavant, le délégué général du FESPHO, Moussa Sawadogo, a fait savoir dans son discours que le festival est né pour donner au photographe journaliste ou photographe de presse la place qui lui revient au sein du journalisme en Afrique. C'est la raison pour laquelle, le festival, selon son initiateur, se donne pour objectifs de placer le photojournaliste au coeur de la pratique journalistique, de renforcer la capacité des photographes de presse à la bonne pratique journalistique, de mettre en lumière leur travail au Burkina et ailleurs en Afrique.


Séni DABO

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