Partenariat Banque Mondiale/presse burkinabè : plus de contact et de formation en 2014 pour une meilleure collaboration #aOuaga

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Partenariat Banque Mondiale/presse burkinabè : plus de contact et de formation en 2014 pour une meilleure collaboration

Publié le mardi 25 fevrier 2014 | FasoZine

© Autre presse par DR
La représentante résidente de la Banque Mondial au Burkina Faso, Mercy Tembon

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La représentante résidente de la Banque mondiale au Burkina Faso, Mercy Tembon, a présenté ses vœux du nouvel An 2014 à la presse burkinabè le 21 février dernier, à la faveur d’une cérémonie qui s’est tenue dans les locaux de l’institution à Ouagadougou. L’occasion était indiquée pour l’hôtesse des hommes de médias de rappeler les acquis de la Banque mondiale pour l’année écoulée et promettre plus de collaboration avec la presse à travers des activités comme les formations.

Après avoir reçu le 21 février 2014 les vœux de santé et de succès de Mercy Tembon, représentante résidente de la Banque mondiale au Burkina Faso, les hommes de médias qui ont également, à travers leur porte-parole Morin Yamongbé, Directeur de publication de Fasozine, souhaité le meilleur pour l’hôtesse d’un jour de la presse burkinabè, ont exprimé aussi le vœu de pouvoir connaître davantage cette institution de Breton Woods en vue de pouvoir en parler avec plus d’aisance. Un vœu dont la réalisation ne souffrira probablement point de doute, Mercy Tembon ayant tout de suite marqué son accord pour une collaboration plus rapprochée avec les journalistes qu’elle appelle affectueusement « nos grands amis ».

Elle a ainsi promis de tout mettre en œuvre, avec le concours des journalistes eux-mêmes dans le choix des thèmes de formation utiles, pour que ces « amis » de la Banque mondiale puissent mieux comprendre les programmes et projets de la structure et toucher du doigt la réalité de ses réalisations. Une caravane de presse ou une expédition semblable pourrait donc également être organisée dans ce sens. Le but étant de susciter plus de contact entre la Banque et la presse, afin de permettre à ces derniers de maîtriser les rouages et les terminologies techniques de celle-là, pour porter au reste des Burkinabè une information accessible et intéressante sur l’institution mondiale de développement.

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