Le mercure de cette semaine, sans oublier la fièvre des élections municipales partielles ni le climat d’attente politique dans lequel baigne les Burkinabès, a ouvert une fenêtre sur un acteur important de la société burkinabè : la Justice.
C’est un secret de polichinelle. Le troisième pouvoir de l’Etat burkinabè n’est pas au mieux de sa forme. Sur le plan des acteurs qui l’animent (on en a beaucoup parlé) et aussi au niveau de ses infrastructures. ... suite de l'article sur Autre presse