Le ministre délégué chargé de la Coopération régionale, Thomas Palé, et l’ambassadeur du Burkina Faso au Sénégal, Aline Koala, ont rencontré, le 15 février 2014 à Nouakchott, les Burkinabè vivant en République islamique de Mauritanie. Ils ont échangé avec les ressortissants burkinabè sur leurs préoccupations.
C’est une trentaine de Burkinabè vivant en République islamique de Mauritanie que le ministre Thomas Palé et l’ambassadeur Aline Koala ont rencontrés à Nouakchott, en marge du sommet des chefs d’Etat des pays du Sahel. L’ambassadeur du Burkina au Sénégal les a félicités pour leur comportement exemplaire et a révélé à ceux-ci la collaboration qu’elle compte développer avec leur pays d’accueil. Elle porte notamment, sur la pêche, la Mauritanie ayant l‘une des côtes les plus poissonneuses d’Afrique. Aline Koala dit envisager avec ce pays, l’exportation du poisson vers le Burkina Faso et la formation des Burkinabè à la pisciculture. Le partenariat, selon elle, pourrait s’étendre à d’autres domaines comme l’agriculture. L’ambassade du Burkina au Sénégal couvre, outre le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée-Bissau, la Gambie et le Cap-Vert. Le ministre délégué a, quant à lui, invité les ressortissants burkinabè à vivre en parfaite intelligence avec les Mauritaniens et à respecter les lois du pays hôte. M. Palé les a aussi exhortés à être des citoyens modèles, à cultiver la cohésion et la solidarité. Faisant allusion à la situation socio-politique dans leur pays d’origine, le ministre Thomas Palé a rassuré les Burkinabè vivant en Mauritanie que les institutions fonctionnent correctement et que les Burkinabé continuent de travailler à la mise en œuvre du programme du chef de l’Etat. Il leur annoncé la tenue en mars 2014 à Ouagadougou, du forum de la diaspora .Les Burkinabé vivant en République Islamique de Mauritanie ont, à leur tour, sollicité l’accompagnement des autorités burkinabè pour résoudre les difficultés auxquelles ils font face. Il s’agit du coût élevé de la carte de séjour (50 000 F CFA par an) et des problèmes de visa. Environ 200 Burkinabè vivent en Mauritanie et sont présents dans divers secteurs d’activités comme l’agriculture, l’enseignement, le bâtiment et la santé. La plupart d’entre eux évolue dans la fonction publique internationale.cé la tenue en mars 2014 à Ouagadougou, du forum de la diaspora .Les Burkinabé vivant en République Islamique de Mauritanie ont, à leur tour, sollicité l’accompagnement des autorités burkinabè pour résoudre les difficultés auxquelles ils font face. Il s’agit du coût élevé de la carte de séjour (50 000 F CFA par an) et des problèmes de visa. Environ 200 Burkinabè vivent en Mauritanie et sont présents dans divers secteurs d’activités comme l’agriculture, l’enseignement, le bâtiment et la santé. La plupart d’entre eux évolue dans la fonction publique internationale.