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Le Pays N° 5230 du 6/11/2012

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Journées des amitiés BF-RCI : Pour soutenir les efforts de paix des deux gouvernements
Publié le mardi 6 novembre 2012   |  Le Pays


Djibrill
© Autre presse par DR
Djibrill Bassolé, chef de la diplomatie burkinabè et médiateur délégué dans la crise malienne


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Du 2 au 4 novembre dernier, les deux peuples ivoirien et burkinabè ont célébré leurs journées d’amitié. Ces journées placées sous le patronage du ministre des Affaires étrangères et de la coopération régionale, Djibrill Bassolet, était placées sous le signe du renforcement des liens historico-politiques et socio-économiques qui existent entre ces deux pays. La structure organisatrice de ces journées qui se sont déroulées à la Maison du peuple, n’est autre que l’Union des ressortissants de la République de Côte d’Ivoire au Burkina (URECIB).

Les peuples ivoirien et burkinabè ont un destin commun parce qu’unis par l’histoire, la géographie et l’économie. C’est conscient de cela que ces deux peuples développent des initiatives pour maintenir ces liens historico-politiques et socioéconomiques. Une structure comme l’URECIB milite en faveur de la préservation et de la pérennisation de ces liens qui ont été éprouvés par la crise politique qui a secoué la Côte d’Ivoire. Ces journées d’amitié Côte d’Ivoire-Burkina Faso selon le président de l’URECIB, François Touré, visent les objectifs suivants : « soutenir les efforts de paix des deux gouvernements qui ont décidé d’écrire de nouvelleset belles pages » de l’histoire des deux peuples, briser, à travers la célébration de l’art et de la culture, les barrières de méfiance qui ont fait beaucoup de torts aux deux peuples, créer un cadre régulier de communication entre les deux peuples.

Toujours selon le président de l’URECIB, l’avènement de la mondialisation où aucun pays, aussi fort soit-il, ne peut se développer en autarcie, nécessite davantage le renforcement de ces liens d’amitié et de fraternité ivoiro-burkinabè. Amadou Dicko, représentant du ministre des Affaires étrangères et de la coopération régionale, a embouché la mêmetrompette en appelant surtout les deux peuples unis à se démarquer de « la politique du diviser pour mieux régner de certains individus ». Les journées ont été ponctuées d’évènements : une conférence, des concerts, un gala de boxe, une rue marchande, des expositions d’objet artistiques, etc.

Boulkindi COULDIATI

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