Suite à l’agression du Secrétaire général du Front des Forces Sociales (FFS), le président du Parti, Norbert Michel Tiendrebeogo, n’écarte pas la thèse d’une agression aux mobiles politiques. Joint au téléphone, il a estimé que ce qui est arrivé est le signe que l’État a fui ses responsabilités, et déclaré qu’une plainte sera déposée ainsi que des actions entreprises, avec le reste de l’opposition pour dénoncer cette agression.
« En pareille situation, nous ne pouvons que déplorer ce qui est arrivé », a déclaré Norbert Michel Tiendrebeogo, joint au téléphone par Burkina 24.
Pour le président du FFS, cette agression est comme un signe qui interpelle sur la situation sécuritaire. « Nous nous trouvons dans une situation où le pays n’est pas gouverné, où l’État a fuit complètement ses responsabilités. C’est pratiquement une invite à chaque citoyen à se promener avec une machette ou avec un pistolet », a déclaré Norbert Michel Tiendrébéogo, pour qui, « les citoyens sont laissés à eux-mêmes et à la portée des bandits ».... suite de l'article sur Autre presse