Ce jeudi 6 février marque la Journée internationale de lutte contre l’excision et les mutilations génitales féminines. Une journée pour dénoncer cette pratique aux conséquences dramatiques sur les jeunes filles et les femmes.
Les chiffres de l’UNICEF qui travaille à l’éradication de ces actes qui représentent un réel danger pour la santé des jeunes filles montrent que la tâche reste encore immense. « Dans une majorité de pays concernés par la pratique des mutilations génitales féminines, la tendance est à la baisse », annonce toutefois l’institution et c’est déjà un progrès.
125 millions de filles et de femmes actuellement en vie dans 29 pays d’Afrique et du Moyen-Orient ont subi une forme de mutilations génitales (soit 90 % des femmes excisées dans le monde)
30 millions d’autres filles risquent d’en être victimes au cours des dix prochaines années
Le Kenya et le Burkina Faso, champions d’Afrique de la lutte contre l’excision... suite de l'article sur Autre presse