Parmi les soixante-quinze personnalités du CDP qui claquent la porte, trois anciens proches du chef de l’État. Mécontents d’être sur la touche depuis deux ans, ils entendent créer leur propre parti. Jusqu’où ira le bras de fer avec leur ex-mentor ?
"On va gérer ça et montrer aux démissionnaires qu’ils ne sont rien"... Depuis le départ, le 4 janvier, de 75 figures du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), les ténors du parti au pouvoir affichent la plus grande sérénité. Même un chef de l’opposition confie, bluffé : "Ça n’a pas l’air de les ébranler."...... suite de l'article sur Jeune Afrique