La deuxième édition du Festival international de danse de Ouagadougou (FIDO) accueille, du 18 au 25 janvier, 26 compagnies de danse traditionnelle et contemporaine venant des 4 coins du monde, ont annoncé les organisateurs, vendredi dans la capitale burkinabè.
Vont se produire six compagnies de France ( Preljocaj, Golan Yossef, Cie Nyaga, Cie Rêve de la Soie, Cie A’corps, Kevin Jean), cinq du Burkina Faso (Cie Irène Tassembédo, Lebeau Boumpoutou, Serge Somé et Sali Kobré), deux du Bénin (Richard Adossou et Espace Ashakata J-M Vidjennagni), deux de la Martinique (Cie Art et Fact et Cie Christiane Emmanuel), deux de la Côte d’Ivoire (Cie Gbadié et Cie Dumanlé), et une compagnie du Canada (Rhodnie Désir), d’Inde (Sangeeta Isvaran), d’Israël (Cie Orientation), de la Suisse/Tchad (Tonia Schilling), de la RD Congo (Bua Wewa), du Gabon (Cie Solik), du Sénégal (5eme dimension), du Congo (Cie Babingui) et du Mali (Aly Karembé).
Selon la cheville ouvrière du FIDO, Irène Tassembédo ‘’une semaine durant il y aura un Djonjoba à la place de la nation de Ouagadougou le 19 janvier, un village du festival dans l’enceinte du FESPACO pour accueillir les expositions ainsi qu’une programmation musicale tous les soirs après les représentations et pendant toute la durée du festival’’.
Outre ces manifestations, il est prévu des ateliers, master class qui seront organisés à l’école de danse EDIT du 20 au 25 janvier avec les chorégraphes des compagnies invitées.
La danse contemporaine sera assurée par Marie Claude Pietragalla, Yossef Golan, Daniell Alnuma, Cie rêve de la soie, Cie A’corps, Art et Fact, Christine Emmanuel.
La danse afro contemporaine attribuée à Seydou Boro et à Irène Tassembédo, la danse indienne à Sangeeta Isvaran, la danse traditionnelle à Jean Tamba et à Serge Somé, l’écriture chorégraphique à Patrick Roger et l’initiation à l’Ohashiatsu à Véronique Roger Bauer.
Chaque compagnie repartira avec la ‘’symbolique somme d’au plus 1000 euros’’, assure-t-on du côté des organisateurs.