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Nouvel an 2014 : les voeux des citoyens burkinabè
Publié le vendredi 3 janvier 2014   |  RTB


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© Autre presse par DR
Message de nouvel an du Président du Faso : appréciations de quelques Ouagalais


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A l’occasion du nouvel an, les citoyens nourrissent des vœux. Ce jeudi 2 janvier 2014, ils ont été nombreux les ouagalais à exprimer à notre micro leurs messages. Des voeux de santé, de paix et de cohésion sociale au Pays des Hommes intègres. Immersion



Oumarou BAYIRE, commerçant :

« Mon souhait pour cette année 2014, que Dieu nous pardonne, nous donne beaucoup de santé, nous donne de bonnes femmes et de bons enfants.

Aux hommes politiques, nous leur disons de faire pardon et écouter le peuple car nous voyons actuellement ce qui se passe chez nos pays voisins. Le pouvoir est bon mais la vie des citoyens est meilleure parce que si on prend une population, elle est constituée de nos mamans, nos papas, nos enfants, nos frères et sœurs.

Aux religieux de toujours demeurer dans la foi. Quant à notre football, bravo aux Etalons. Qu’ils continuent de nous rendre heureux. Ce sont mes vœux pour cette année »



Mme DERA :Issouf ZONGO, étudiant en 1ère année Sciences et technologies :

« Mes vœux que je veux apporter à la nation burkinabè, c’est que la grâce de Dieu soit au sein de notre communauté et qu’il y ait la cohésion sociale, l’entente, surtout que nous nous unissions et que nous mettions ensemble les mains pour bâtir un pays meilleur. Que la grâce de Dieu soit avec nous.

Je voulais aussi que l’Etat pense à notre université ; nous remarquons beaucoup le retard. Il faut que le gouvernement pense à nous les étudiants, et qu’il nous aide à trouver de l’emploi »

Issouf ZONGO,
étudiant en 1ère année Sciences et technologies :

« Mes vœux que je veux apporter à la nation burkinabè, c’est que la grâce de Dieu soit au sein de notre communauté et qu’il y ait la cohésion sociale, l’entente, surtout que nous nous unissions et que nous mettions ensemble les mains pour bâtir un pays meilleur. Que la grâce de Dieu soit avec nous.

Je voulais aussi que l’Etat pense à notre université ; nous remarquons beaucoup le retard. Il faut que le gouvernement pense à nous les étudiants, et qu’il nous aide à trouver de l’emploi »


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