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Education non formelle : Chantal Compaoré félicitée pour ses actions en faveur de l’alphabétisation
Publié le lundi 23 decembre 2013   |  FasoZine


Eradication
© Présidence par DR
Eradication de la violence faite aux femmes: Chantal Compaoré en fait une quête permanente de dignité.
Lundi 25 novembre 2013. Burkina Faso. Madame Chantal Compaoré a présidée une cérémonie autour du thème: «Contribution des acteurs judiciaires à la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles».


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Le quatrième forum sur l’éducation non formelle s’est ouvert, le 17 décembre 2013 à Bobo-Dioulasso, sous la présidence de l’épouse du chef de l’Etat, Chantal Compaoré.Cette rencontre a été placée sous le thème: «Pour l’atteinte des objectifs du programme national d’accélération de l’alphabétisation : acteurs, actrices, capitalisons, mutualisons nos expériences réussies».A cette occasion, les différents intervenants ont souligné que le forum est révélateur de la détermination des autorités burkinabè à réduire, voire éradiquer l’analphabétisme au Burkina Faso.Cela, en étant en phase avec les recommandations de l’UNESCO pour le développement durable, à savoir «s’élever au-dessus du seuil minimum de 40% de taux d’alphabétisation».

Il ressort que de nombreuses actions contre l’analphabétisme ont été entreprises par le Burkina Faso, parmi lesquelles, la Stratégie de croissance accélérée et de Développement durable (SCADD), dont le Programme de développement stratégique de l’Education de Base (PDSEB) tire sa substance. Un axe principal de ce programme est la promotion de l’Education non formelle et le Programme national d’accélération de l’alphabétisation (PRONAA) qui se fixe un objectif majeur d’atteindre un taux d’alphabétisation de 60% en 2015.

Les différents intervenants au forum ont salué les multiples actions de Mme Chantal Compaoré, Ambassadrice de bonne volonté pour la promotion de l’éducation non formelle, qui accompagne les autorités burkinabè dans leur combat contre l’analphabétisme.

En tant qu’Ambassadrice de bonne volonté pour la promotion de l’éducation non formelle, l’épouse du chef de l’Etat burkinabè a invité les participants au forum à «faire des propositions de stratégies réalistes en vue d’éradiquer l’analphabétisme». Elle a par ailleurs émis le vœu que «le Burkina Faso devienne une référenceafricaine en matière d’alphabétisation et d’éducation non formelle».

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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