Les cas d’enfants qui flinguent leurs camarades, qui agressent leurs enseignants, ou qui défient leurs parents sont devenus monnaie courante. Pour se l’expliquer, on évoque souvent l’influence des médias, la démission des parents, ou le rôle des écoles. Pour le Naaba Sigri de Sancé, un des détenteurs de la tradition moaga, tout commence plutôt au moment où la goutte spermatique touche l’appareil génital de la femme.
La semence de l’homme tomberait avec une « certaine conscience » dans l’appareil génital de la femme. De même et surtout, l’état psychologique et mental de la femme pendant l’acte de la reproduction, affecterait la conscience et la qualité sociale du futur bébé ; c’est l’avis (...) lire la suite dans le "Carrefour africain" du mois de décembre.