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8e édition des journées nationales du refus de la corruption : la justice burkinabè face à la corruption
Publié le samedi 7 decembre 2013   |  L’Hebdomadaire




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Le REN-LAC organise du 1er au 9 décembre 2013, la 8e édition des journées nationales du refus de la corruption sous le thème  : « La justice burkinabè face à la corruption ». Plusieurs activités d’informations et de sensibilisation sont au programme parmi lesquelles des émissions radios et télés et des concerts.



Comme les éditions précédentes, les activités de cette huitième (8e) édition se tiennent aussi bien à Ouagadougou que dans les zones d’intervention des Comités régionaux anticorruption.

A Ouagadougou, 5 conférences publiques sont prévues à l’ENAM, l’ENAREF, l’ENSP, l’ENEP de Loumbila, sur « la répression de la corruption des agents publics au Burkina Faso ». Outre ces conférences, un panel sera organisé le 9 décembre à partir de 9h dans la salle de conférences du Liptako N’Gourma sur « la justice burkinabè face à la corruption ».

Le gouvernement sera une fois de plus interpeller sur l’impunité des faits de corruption, par le biais d’un mémorandum. En marge de ces journées, le REN-LAC organise une campagne de sensibilisation de la jeunesse contre la corruption.

Cette campagne a débuté depuis le 16 novembre 2013 et pour les organisateurs, cette campagne consiste en des jeux concours lors des matchs du tournoi de football dénommé tournoi de l’intégrité, des jeux radiophoniques, un concours de dissertation sur la corruption et un concert gratuits qui aura lieu le 7 décembre à partir de 20h sur le site du SIAO.

Si la corruption n’épargne aucune frange de la population, la jeunesse en est encore plus durement touchée par le fléau, estime les organisateurs. Pour eux, la corruption contribue en grande partie à accroître le chômage et à compromettre l’accès des populations aux services sociaux de base.

Elle compromet l’avenir, surtout celui de la jeunesse qui constitue une victime expiatoire. Il faut donc mobiliser par tous les moyens cette jeunesse pour exiger que non seulement, la justice soit assainie, mais et surtout qu’elle assume comme il se doit son rôle, en s’attaquant vigoureusement à l’impunité des faits de corruption.

Kibsa KARIM

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