La Fédération des Familles pour la paix mondiale et l’Unification FFPMU en collaboration avec d’autres associations a célébré conjointement la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA et la fête de la paix le dimanche 24 novembre 2013 à Ouagadougou. Il s’est agi d’étaler la situation du VIH/SIDA au Burkina, et passer un message de sensibilisation. Il ressort des communications que le taux de prévalence du SIDA au Burkina Faso est de 1,1% mais l’objectif est d’atteindre zéro infection et zéro décès liés à cette maladie.
« Objectif zéro : zéro nouvelle infection à VIH/SIDA, zéro discrimination, zéro décès lié au SIDA » c’est par ce thème que la FFPMU en collaboration avec la Fédération des Femmes pour la Paix Mondiale (FFPM), la Fédération des Jeunes pour la Paix mondiale (FJPM) et l’ONG JAFA du japon a célébrée conjointement la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA et la fête de la paix.
Si la fête de la paix est célébrée chaque fin du mois par l’association, celle de la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA se tient chaque 1er décembre de chaque année. Cette célébration anticipée selon le Vice président de la FFPMU SOU DANWERE, se justifie par un calendrier trop chargé qui ne leur permettra pas de célébrée la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA au 1er décembre.
La cérémonie a connu la présence du député Célestin KOUSSOUBE, coordonateur des parlementaires pour la lutte contre le VIH/SIDA. Inviter au parloir, celui-ci a fait la lecture de la situation du VIH/SIDA au Burkina Faso. En effet, à l’heure actuelle, selon le député Célestin KOUSSOUBE, le taux de prévalence du VIH/SIDA au Burkina Faso est de 1,1 % comparativement au taux de 2008 qui était à 1,2%. L’objectif selon lui est d’arriver à zéro infection, à zéro décès lié au VIH/SIDA.
La cérémonie a été également l’occasion pour les organisateurs de la cérémonie de sensibiliser les participants sur la maladie. Selon le président de l’ONG JAFA du Japon, la chasteté, la fidélité, l’abstinence sont les 3 voies idéales pour éviter de contracter le virus du SIDA.
Il a également invité les familles à jouer leur partition car seule l’éducation à la base permettra d’atteindre les objectifs escomptés comme soulignés dans le thème. Des sketchs suivis de projections, des chants et des distinctions ont ponctué la cérémonie.