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Le Quotidien N° 921 du 19/11/2013

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Actualité politique nationale : Blaise Compaoré va se présenter en 2015 et il aura le soutien de son peuple
Publié le mardi 19 novembre 2013   |  Le Quotidien


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© Présidence par DR
Le président du Faso, Blaise Compaoré, a fait le bilan de son séjour aux Etats-Unis le 27 septembre 2013 aux journalistes burkinabè de sa délégation


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Le président de la Fédération Ashalam internationale et observateur de l’actualité politique internationale s’est exprimé sur des questions d’actualité en Afrique. Pour lui, « on ne change pas une équipe qui gagne ». Le président algérien Boutekika a capitalisé de nombreux acquis pour l’Algérie en ce sens qu’il a travaillé à créer des emplois pour les jeunes et des infrastructures pour le bien-être des populations. A propos du Burkina, Mohamed Doumi a indiqué que Blaise Compaoré a le soutien du peuple burkinabè et qu’il peut se présenter en 2015 pour réaliser son programme politique qui est un document bien élaboré. Pour lui, de nombreuses possibilités s’offrent au président du Faso par rapport à l’article 37 de la Constitution.
Le président de la Fédération Ashalam internationale, Mohamed Doumi, et observateur politique international a laissé entendre au cours d’un entretien, le 15 novembre 2013, à Ouagadougou, que le président du Faso, qui bénéficie d’une grande crédibilité au plan international de par son engagement soutenu dans la résolution des crises dans la sous-région ouest-africaine, est la personne la mieux indiquée pour conduire le Burkina vers un horizon de bonheur et ce, à travers la réalisation intégrale de son programme politique d’ici à 2020. Pour cela, il estime que l’article 37 de la Constitution ne doit pas être une entrave à la construction du Burkina. « La loi qui a été élaborée par des humains ne peut s’ériger en un mur », a-t-il rappelé. Pour lui, lorsqu’au regard des conjonctures socio-économiques et politiques il s’avère nécessaire de revoir la copie, cela doit aller de soi. « Le président du Faso a l’avantage d’un soutien massif des burkinabè. Le président du Faso connaît son peuple et travaille pour assouvir les préoccupations de ce peuple », a-t-il martelé. « Si aujourd’hui le Burkina Faso a une position de leadership dans la sous-région ouest africaine, c’est grâce aux efforts et au soutien inlassable du peuple burkinabè à son président. Le Burkina réalise des progrès dans plusieurs domaines à l’exemple du sport. La position de vice-champion d’Afrique du Football concourt également au rayonnement du Burkina dans le concert des nations. Il faut noter que ce rayonnement international se justifie par le travail des hommes engagés auprès du président du Faso. J’en veux pour preuve que le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération régionale, Djibrill Bassolet, et le ministre des Sports et des Loisirs, Yacouba Ouédraogo, n’ont eu de cesse de porter haut le flambeau du Burkina à l’étranger, à travers la valeur de ses hommes, dans plusieurs secteurs d’activités tels le sport, la position des hommes dans les structures internationales», a-t-il expliqué. A en croire celui-ci, il faut savoir tirer leçon des exemples de transitions manquées dans les pays comme la Lybie, le Congo, l’Egypte et qui sont devenus des foyers de tensions sociales et d’insécurité. « Nous devrons éviter de faire la politique de l’autruche. Blaise va se présenter en 2015 et il aura le soutien de son peuple », a-t-il révélé. Mohamed Doumi a salué la coopération fructueuse qu’entretient le Burkina avec l’Algérie. L’Algérie est l’un des rares pays africains qui dispose d’un ministère chargé de la solidarité internationale. Ce ministère a été mis en place pour développer des relations de fraternité avec les autres pays africains dont le Burkina Faso. Les deux autorités politiques algero-burkinabè entretiennent une excellente collaboration, a-t-il mentionné. En ce qui concerne l’Algérie, le président de la Fédération Ashalam a soutenu que Bouteflika a su maintenir l’ordre et a su initier un programme de développement axé sur le partage équilibré de la plus-value en matière de production nationale. Selon lui, « on ne change pas une équipe qui gagne et il faut permettre libre cours à l’ingéniosité du président Bouteflika de s’exprimer ». « En tant qu’ambassadeur de la paix, je souhaite que l’opposition politique, aussi bien que la majorité présidentielle, travaillent la main dans la main pour asseoir le socle d’une paix sociale durable au Burkina Faso au profit des populations », a-t-il conclu .

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