Camarades, la Patrie ou la mort, nous vaincrons ! Merci camarades. La lutte continue pour les bonnes causes. Un constat désolant se fait de nos jours pour beaucoup de cimetières dans la capitale burkinabè Ouagadougou. En effet, des cimetières sont saturés et il faut souvent faire le tour de quelques villages dans la périphérie de la ville pour inhumer des morts dans des cimetières de ces localités. Au titre des cimetières saturés à Ouagadougou, on peut citer entre autres : les cimetières route de Saponé, Kouritenga, Gounghin …Le premier cimetière municipal saturé et fermé depuis plus d’une décennie, il serait souhaitable et opportun que la Mairie de Ouagadougou songe à ériger un grand cimetière d’une superficie de l’ordre de 1.000 à 10.000 hectares. Cela évitera l’encombrement de la ville de Ouagadougou et des villages environnants de cimetières exigus, qui ressemblent à des terrains de football. Les autorités municipales et les ministres qui assistent à des enterrements dans des cimetières de Ouagadougou ne font-ils pas ce constat de la saturation ? Peut-être que les lunettes noires de gorilles que certains d’entre eux portent lors des inhumations, les empêchent de voir la réalité sur le terrain.