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Sidwaya N° 7543 du 15/11/2013

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Patrimoine culturel : la présidente de la CIL découvre le Musée national
Publié le vendredi 15 novembre 2013   |  Sidwaya




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La présidente de la Commission de l’informatique et des libertés (CIL), Margueritte Ouédraogo/Bonané, a effectué, le jeudi 14 novembre 2013, une visite au Musée national. La sortie a permis à la présidente et à sa délégation, de découvrir la culture burkinabè à travers les objets culturels qui y sont conservés.

« On ne finit jamais d’apprendre. Nous avons découvert beaucoup de choses qu’on ignorait, à travers les explications des conservateurs ». Ce sont les sentiments de la présidente de la Commission de l’informatique et des libertés (CIL), Margueritte Ouédraogo/Bonané, à l’issue de la visite qu’elle a effectuée le jeudi 14 novembre 2013 au Musée national du Burkina. Accompagnée de ses collaborateurs et de l’ambassadeur du Musée, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Alain Edouard Traoré, Mme Ouédraogo a félicité les responsables pour les efforts qu’ils fournissent afin de conserver l’identité culturelle burkinabè. « C’est une identité que nous devons conserver et la CIL en tant que protecteur des données personnelles, apportera sa contribution », a-t-elle confié avant de préciser que c’est dans cette optique que la présente visite a été organisée. Dans la même lancée, l’ambassadeur, Alain Edouard Traoré, a relevé que dans un contexte mondial actuel dominé par les Technologies de l’information et de la communication, « nous nous intéressons souvent à ce qui se passe dans le monde et parfois nous ne connaissons pas ce qu’il y a chez nous ». Il a fait savoir qu’un musée est toute une culture, une anthropologie et une histoire que les Burkinabè doivent chercher à connaître suffisamment, car c’est ce qui contribue à les identifier. « Développer un musée, c’est valoriser notre culture et par là, mieux nous retrouver en tant que Burkinabè », a laissé entendre le ministre de la Communication. La visite a commencé par le pavillon Jean Rouch, dans lequel est exposé l’univers des statuettes. En effet, le guide-animateur de musée, Marc Kambou, a expliqué aux visiteurs, l’importance des statuettes dans la société burkinabè. Ainsi, il a indiqué que certaines figurines sont considérées comme des dieux avec lesquels, l’adorateur dialogue et d’autres symbolisant la fécondité. Après cette première salle, les visiteurs se sont rendu dans la salle des masques. Le guide Kambou a donné quelques interprétations des apparences et précisé que la signification, la couleur et l’usage sont fonction des sociétés. Selon ses dires, la danse des masques est accompagnée par des instruments de musique. La découverte de la salle du tissu a été la dernière étape de la visite de la première responsable de la CIL et de ses collaborateurs. Pour marquer son passage, la CIL a offert un trophée au musée.


Joseph HARO

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