Les membres de la CAGIDH et de la CEASC planchent sur le genre et les droits humains #aOuaga

Politique

Les membres de la CAGIDH et de la CEASC planchent sur le genre et les droits humains

Publié le vendredi 1 novembre 2013 | Assemblée Nationale

© aOuaga.com par A. Ouedraogo
Assemblée Nationale du Burkina : Entré parlementaire 2013
Mercredi 06 mars 2013. Ouagadougou.Ouverture de la première session de la 5ème législature

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Activités de l’Assemblée nationale en 2013

Du mercredi 30 au jeudi 31 octobre, s’est tenu à Ouagadougou un atelier des députés membres de la CAGIDH (Commission des Affaires générales, institutionnelles et des droits humains.

Cette rencontre organisée en partenariat avec le NDI (National Demacratic Institute) a enregistré également la présence des élus de la CEASC (Commission de l’Emploi des affaires sociales et culturelles) et des femmes parlementaires. Elle a permis aux participants d’échanger notamment sur les violences basées sur le genre et sur le plan d’action nationale de lutte contre l’exclusion des personnes accusées de sorcellerie. La représente résidente du NDI, Aminata KASSE et le président de la CAGIDH, Boureima BADINI, ont tour à tour salué le partenariat qui lie leurs institutions respectives depuis 2009. Puis, ils se sont attardés sur les différentes lois qui ont été adoptées par la Représentation nationale et qui traduisent la volonté manifeste des représentants du peuple de contribuer à la réduction des inégalités entre les hommes et les femmes.

L’atelier a été ponctué par la visite du Centre Delwendé de Tanghin par les membres des deux commissions de l’Assemblée nationale et les représentants du NDI. Des échanges avec les responsables du Centre, ils sont repartis plus édifiés.

Au terme de leurs travaux, travaux qui étaient riches et enrichissant de l’avis du président de la CAGIDH, les députés se sont engagés à intensifier la sensibilisation contre l’exclusion des personnes vulnérables, accusées de sorcellerie. Ils comptent également faire des recommandations en direction du gouvernement et n’excluent pas la possibilité de mettre en place un réseau des parlementaires pour la protection des personnes âgées et vulnérables afin d’être plus efficaces sur le terrain

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