Après le parti au pouvoir, le Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), c’est l’opposition politique burkinabè qui organise sa rentrée politique le 2 novembre prochain.
La décision a été prise le 14 octobre dernier lors d’une rencontre, selon un communiqué de presse. Cette rentrée marquera la reprise des activités de l’opposition, qui seront étalées sur les 12 prochains mois, et sera axée sur »l’intensification de sa lutte« .
L’opposition est lancée depuis plusieurs mois dans une lutte contre la vie chère et l’installation de la deuxième chambre du Parlement burkinabè, soupçonnée d’être un moyen pour modifier l’article 37 de la Constitution pour permettre au Président du Faso actuel de négocier un nouveau mandat présidentiel.... suite de l'article sur Autre presse