Le Congrès pour la démocratie et le progrès se donne tous les moyens pour associer l’ensemble des filles et fils au développement du Burkina Faso. L’une des trouvailles du parti de l’épi et de la daba a été de créer un secrétariat chargé du mouvement associatif. Les actions menées par ce secrétariat produisent déjà des fruits. Lisez plutôt.
Les associations constituent un creuset de solidarité entretenue entre des citoyens dans le sens de la réalisation d’un objectif commun. C’est fort du rôle combien indispensable des associations dans le développement du pays que le Congrès pour la démocratie et le progrès a décidé d’en faire un pilier non moins négligeable pour booster l’émergence du Burkina Faso. En effet, à l’issue du 5e Congrès du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), l’une des innovations majeures a été d’introduire le volet associatif dans la stratégie politique de mobilisation du parti. Comme le dit un dicton qu’ : «Il faut nécessairement l’homme qu’il faut à la place qu’il faut », la conduite de la machine associative devrait être confiée à celui qui avait les armes pour porter le défi. C’est ainsi que François Compaoré, qui avait déjà fait montre de son engagement pour la promotion de la jeunesse à travers le sport, notamment l’Union des sports scolaire et universitaire du Burkina Faso (USSUBF), est devenu le responsable associatif du parti. Les attentes des populations étant énormes de ces multiples associations, il fallait, à travers un maestria, insuffler un dynamique nouvelle. C’est ce challenge que le mouvement associatif du secrétariat du CDP, en fait son cheval de bataille. Les efforts consentis dans ce sens par plusieurs associations sont d’ores et déjà reconnus. En témoigne les multiples attestations de reconnaissance remises à des leaders d’association en guise d’encouragement lors de la journée internationale de la jeunesse célébrée le 5 septembre 2013, au Burkina Faso sous la bannière du ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Formation professionnelle. En effet, au cours de la commémoration de cette journée instituée par les Nations Unies, chaque 12 août, le ministère a procédé à la reconnaissance du sacrifice des leaders d’association. Cela constitue le témoignage indéniable du dynamisme de ces associations.
Une invite lancée à l’ensemble des associations
Le secrétariat du mouvement associatif qui se veut le porte-flambeau des associations, n’entend pas rester en si bon chemin et invite l’ensemble des associations qui ont pour credo la promotion d’une citoyenneté agissante au service de la nation à le rejoindre pour renforcer les rangs afin de bâtir un Burkina prospère. Par ailleurs, l’une des attributions du secrétariat chargé du mouvement associatif est de « promouvoir des activités de formation des leaders associatifs sur le civisme, la citoyenneté et le patriotisme ». Il s’agit de catalyser les associations à s’inscrire dans une logique de développement du pays. Comme le disait un penseur, au lieu de se demander ce que son Etat peut faire pour soi, il faut plutôt se demander ce que l’on peut faire pour son Etat. C’est dire donc que c’est à travers l’effort conjugué de chacun, soit de façon individuelle ou de façon collective via un cadre associatif que le développement peut être une réalité. L’Etat ne pouvant être sur tous les chantiers en même temps, les associations se présentent comme le cadre idéal pour mener des activités d’intérêt public au profit des populations. C’est pour réussir à relever ce défi que les principaux acteurs du secrétariat du mouvement associatif comme François Compaoré, Michel Zabramba, Celine Yoda, et Alpha Yago pour ne citer que ceux-ci, agissent d’une synergie d’actions avec d’autres acteurs, en vue d’offrir un espace d’expression aux associations du Burkina .
