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L’Observateur Paalga N° 8479 du 16/10/2013

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AFRICALLIA 2013 : C’est parti pour les inscriptions !
Publié le jeudi 17 octobre 2013   |  L’Observateur Paalga


Gaspar
© Autre presse par DR
Gaspar Ouédraogo président du comité de pilotage d’AFRICALLIA


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La salle de conférences de l’Hôtel Laïco a, le lundi 14 octobre 2013, abrité la cérémonie de lancement des inscriptions à la 3e édition d’AFRICALLIA, prévue pour se tenir les 27 et 28 février 2014 à Ouagadougou. Ce forum multisectoriel ouvre amplement les portes du monde aux chefs d’entreprises de notre sous-région à la recherche d’investisseurs et de partenariats stratégiques, commerciaux, technologiques ou financiers.

Si AFRICALLIA n’existait pas, il fallait forcément l’inventer. Tenez, la première édition organisée les 23 et 24 mai 2010 a regroupé 330 participants dont 254 entreprises originaires de 20 pays de quatre continents que sont l’Afrique, l’Amérique, l’Asie et l’Europe. A ce rendez-vous, les participants ont pu ficeler 2770 rendez-vous d’affaires. La 2e édition, qui s’est tenue les 23 et 24 février 2012, a regroupé, quant à elle, 515 participants dont 415 entreprises de 19 pays du monde avec plus de 4300 rendez-vous d’affaires et 603 rencontres informelles recensées. Forte de ces résultats satisfaisants et convaincue de la pertinence de ce forum, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso, en collaboration avec la maison de l’Entreprise du Burkina et ses partenaires, organise la 3e édition les 27 et 28 février 2014.

Sont ardemment priés de s’inscrire pour cette rencontre, les hommes d’affaires de notre pays, qui n’ont pas du tout boudé la cérémonie de lancement des inscriptions. «Dès à présent, nous invitons les entreprises à s’inscrire massivement à AFRICALLIA. N’attendez pas le dernier moment pour le faire. Vous avez là une formidable et unique occasion pour nouer des partenariats et développer des affaires», a insisté le président du comité de pilotage, Gaspard Ouédraogo. AFRICALLIA, c’est en effet, une opportunité sur un plateau en or pour réussir ses projets commerciaux à travers la zone UEMOA, c’est la possibilité de développer des alliances technologiques, financières, commerciales et une occasion de s’informer avec précision sur l’environnement des affaires dans la zone UEMOA. Avec ce forum, c’est également une prospection à l’international facilitée, un gain de temps et d’argent et un contact direct avec des entreprises de l’Afrique de l’Ouest.

Pour la 3e édition, 400 entreprises sont attendues dont 240 de l’Afrique de l’Ouest et 160 du reste du monde. La participation est d’autant plus aisée que pour cette édition, les frais de participations ont été revu à la baisse et sont de 250 000 FCFA, donnant droit à des rendez-vous d’affaires planifiés, à l’accès aux villages des partenaires et experts, à des déjeuners d’affaires, à une soirée gala, à une soirée internationale, etc. Cette édition est d’autant plus attrayante qu’elle bénéficie du soutien d’institutions et non des moindres. C’est le cas des commissions de l’Union économique et monétaire Ouest-africaine (UEMOA) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), du Centre pour le développement (CDE), de l’Union européenne, de l’ambassade de France et de celle de la République de Chine.

Au cours de la cérémonie, des représentants de pays participants (Bénin, Côte d’Ivoire, Niger, Sénégal, Togo) ont reçu du comité d’organisation des kits de promotion d’AFRICALLIA. Et à écouter Joëlle Akassi Koffi, responsable de la promotion économique à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, le rappel de la troupe sera battu afin que la fête soit belle. «L’événement est d’envergure internationale. Il permet aux entrepreneurs, surtout aux PME, de multiplier leur partenariat au niveau sous-régional et international. La Côte d’Ivoire y est présente depuis la 1re édition. A ces éditions, nous avions amené la plus forte délégation et nous allons nous y atteler pour que cette fois-ci encore, nous soyons fortement présents, surtout que l’inscription a été revue à la baisse».

Issa K. Barry

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