Soutien à la Transition : le mouvement ’’La Veille Citoyenne’’ appelle a une grande mobilisation, ce mercredi, derrière le capitaine Ibrahim Traoré

Publié le mardi 29 avril 2025 | aOuaga.com

© Autre presse par DR
Le mouvement ``La Veille Citpoyenne`` veut remplir la place de la Révolution, ce mercredi, pour traduire le soutien des Burkinabè à leurs dirigeants de la Transition

Pour atteindre Traoré, il faudra marcher sur nous !" La mise en garde est ainsi lancée et le Burkina Faso se mobilise pour préserver sa souveraineté.

Le mouvement ''La Veille Citoyenne'' lance un appel vibrant à la mobilisation générale. Ce mercredi 30 avril 2025, ce mouvement appelle l'ensemble des Burkinabè à descendre sur la Place de la Révolution de Ouagadougou afin de la faire vibrer au son de la détermination du Burkina Faso à se battre pour sa souveraineté. L'objectif ? Affirmer haut et fort le soutien indéfectible au Capitaine Ibrahim Traoré et à son gouvernement, et clamer la souveraineté du Burkina Faso face aux ingérences extérieures.

"Nous montrerons au monde que le Burkina Faso n'est plus un vassal, mais un État souverain qui décide pour son peuple," a déclaré Ghislain Dabiré, porte-parole de la Coordination Nationale de la Veille Citoyenne (CNAVC), dans une interview accordée à l'AIB.

Cette marche massive; explique-t-il, est une réponse directe aux "analyses mensongères" du Général Langley, qualifiées d'ingérence inacceptable par M. Dabiré. "Tout ce que le président Traoré décide est la volonté du peuple burkinabè," a-t-il insisté.
La mise en garde est claire : "Pour atteindre le président Ibrahim Traoré, il faudra d'abord marcher sur le peuple burkinabè." Toute tentative de déstabilisation, depuis n'importe quelle base arrière, sera vouée à l'échec et jugée par l'histoire.

Le porte-parole de la Veille Citoyenne a également salué la mobilisation de la jeunesse africaine et afro-américaine, signe que le panafricanisme est en marche et que les temps des "pillages et manipulations" sont révolus. "Les Noirs ont désormais leur destin en main," a-t-il conclu.

M.S

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