Les activités pédagogiques 2024-2025 ont repris du service à Diapaga dans la province de la Tapoa (Est), à la faveur de la faveur de la rentrée scolaire, a constaté l’AIB.
A l’instar des autres provinces du Burkina Faso, la rentrée scolaire 2024/2025 est effective dans la Tapoa. Ce 1er octobre 2024 le Haut-Commissaire de la Tapoa René Karambiri et ses collaborateurs sont allés constater l’effectivité de cette rentrée à l’école centre « A » de Diapaga.
Montée des couleurs, appel des élèves, vœux de bonne rentrée et de bonne année scolaire ont constitué le plat de résistance de cette rentrée à l’école primaire publique « A » de Diapaga. Le Haut-Commissaire dans son adresse à l’ensemble des acteurs du système éducatif a souhaité une bonne reprise des activités scolaires.
L’année scolaire 2024/2025 va ouvrir ses portes avec les grands défis à relever pour la Tapoa et tout le Burkina Faso. La crise sécuritaire que connait notre province continue d’impacter négativement le secteur de l’éducation qui malgré tout, reste résilient, a dit en substance le premier responsable de la province au regard des résultats engrangés au CEPE et BAC en 2024 par rapport à ceux de 2023.
Les activités pédagogiques 2024-2025 ont repris du service à Diapaga dans la province de la Tapoa (Est), à la faveur de la faveur de la rentrée scolaire, a constaté l’AIB.
A l’instar des autres provinces du Burkina Faso, la rentrée scolaire 2024/2025 est effective dans la Tapoa. Ce 1er octobre 2024 le Haut-Commissaire de la Tapoa René Karambiri et ses collaborateurs sont allés constater l’effectivité de cette rentrée à l’école centre « A » de Diapaga.
Montée des couleurs, appel des élèves, vœux de bonne rentrée et de bonne année scolaire ont constitué le plat de résistance de cette rentrée à l’école primaire publique « A » de Diapaga. Le Haut-Commissaire dans son adresse à l’ensemble des acteurs du système éducatif a souhaité une bonne reprise des activités scolaires.
L’année scolaire 2024/2025 va ouvrir ses portes avec les grands défis à relever pour la Tapoa et tout le Burkina Faso. La crise sécuritaire que connait notre province continue d’impacter négativement le secteur de l’éducation qui malgré tout, reste résilient, a dit en substance le premier responsable de la province au regard des résultats engrangés au CEPE et BAC en 2024 par rapport à ceux de 2023.
Après trois mois de vacances avec des voyages pour certains, des travaux champêtres aux côtés des parents, d’activités commerciales pour d’autres, les élèves ont repris l’école. « Votre devoir envers l’Etat et les enseignants c’est d’être ponctuels, assidus et attentifs. Vous êtes l’avenir de vos parents et du Burkina Faso. Nous formulons les vœux de réussite pour cette année scolaire qui démarre. Nous sommes conscients des conditions très difficiles dans lesquelles vous accomplissez vos tâches », a dit le premier responsable de la province.
Au manque criard d’enseignants, le Haut-Commissaire a rassuré les acteurs du système éducatif de ce qu’un dispositif d’héliportage de leurs collègues de Fada vers Diapaga soit en bonne en bonne voie. Pour le Directeur de l’école « A » Mindiéba Tankoano, c’est un honneur et un extrême privilège d’accueillir le Haut-Commissaire dans leur école.
Il s’est dit satisfait des déclarations du Haut-Commissaire car dans cette école sur 13 enseignants seuls 4 sont présents. Les autres attendent toujours à Fada. Il a également demandé au Haut-Commissaire de peser de tout son poids pour que les problèmes alimentaires qu’ils ont vécus l’année passée soient résolus.
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