Ces médicaments représentent un problème de santé publique dans les pays en développement. Ils peuvent être dangereux pour les patients et ne pas traiter les maladies qu’ils ciblent.
Environ 22% des médicaments vendus en Afrique subsaharienne sont de qualité inférieure ou falsifiés, selon un rapport publié en juillet dernier par l’éditeur britannique de revues scientifiques et académiques Taylor & Francis Group.
Intitulé « Prevalence of substandard, falsified, unlicensed and unregistered medicine and its associated factors in Africa : A systematic review », ce rapport a été élaboré par des chercheurs de l’Université de Bahir Dar qui ont analysé et compilé 27 études menées sur ce thème à l’échelle nationale dans plusieurs pays de la région entre avril 2014 et mars 2024.... suite de l'article sur Autre presse