17e édition de la FILO : «pas d’inquiétude » pour les préparatifs selon le ministre Jean Emmanuel Ouédraogo

Publié le jeudi 23 novembre 2023 | Libreinfo.net

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Jean Emmanuel Ouédraogo,porte-parole du gouvernement burkinabé

Le ministre de la Communication de la Culture, des Arts et du Tourisme, Jean Emmanuel Ouédraogo a visité, ce mercredi 22 novembre 2023, à Ouagadougou, les stands d’exposition de la 17e édition de la Foire internationale du livre de Ouagadougou (FILO).

La FILO se tient du 23 au 26 novembre à Ouagadougou sous le thème : « Les opportunités du numérique pour le développement de l’industrie du livre au Burkina ».

A l’approche de l’ouverture officielle de cette 17e édition de la Foire internationale du livre, le ministre de la Communication Jean Emmanuel Ouédraogo a effectué une visite des stands déjà dressés sur le site du SIAO.

« Nous avons tenu à être présent avant le lancement officiel des activités de la FILO pour constater l’avancée des travaux » a dit le ministre Jean Emmanuel Ouédraogo.

A l’en croire, pour que la réussite de la FILO soit une réalité, les stands doivent être dressés et les expositions puissent se faire. Tout cela contribuera, selon lui, à mettre en valeur la filière livre au Burkina Faso.

« La 17e édition va donner l’opportunité aux plus jeunes et à la population de façon générale aiguiser leur goût pour la lecture et l’écriture » a-t-il précisé.

Lors de sa visite, le ministre a pu constater que les exposants mettent les bouchées doubles pour exposer à l’ouverture de la foire les livres.

« Il n’y a donc pas d’inquiétude à se faire concernant le niveau de préparation de la présente édition de la FILO » a rassuré Jean Emmanuel Ouédraogo.

La directrice du livre et de la lecture publique, José Laurence Zougranna, s’est réjoui du niveau d’organisation de la FILO et de la disponibilité des stands.

« Nous sommes fin prêts pour ouvrir cette 17e édition, les stands sont prêts et il y a au total cent disponibles, le podium pour l’ouverture et la clôture, les salles de conférence et de dédicaces sont opérationnelles » a dit Laurence Zoungranna.

Plusieurs exposants sont venus de pays voisins. C’est le cas de Abdoul Karim Salifou qui est du Niger. Il dit ne pas être à sa première participation. De son avis le secteur du livre au Burkina Faso est à encourager et « le gouvernement fait des efforts pour soutenir le secteur».

Par Valentin Kaboré

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