Il y a des mauvais comportements qui collent à la peau de leurs auteurs. Des individus, sans tenir compte de leurs semblables, se donnent à cœur joie à cracher en circulation. Ces crachats que leurs auteurs « larguent » sans se soucier de leur destination finale, sont en partie emportés par le vent et déposés, par la suite, sur les autres usagers de la route. Un tel acte qui suscite l’indignation des victimes est à condamner, dans la mesure où l’homme est le seul être qui sait choisir entre le bien et le mal. Du reste, chaque membre de la société, d’une manière consciente et responsable, doit savoir que sa propre liberté a des limites et qu’il faut, avant de poser un acte, se formuler cette question : « Et si les autres en faisaient autant ? ».
La circulation serait inondée de crachats et bonjour les maladies…