Dans un communiqué conjoint, les ministres des Transports, de l’Administration territoriale et celui du Commerce ont invité la population, les commerçants des villes et villages ainsi que les transporteurs et chauffeurs routiers à libérer l’emprise des voies routières d’au moins deux mètres de part et d’autres des chaussées.
«Le Burkina Faso enregistre chaque année de nombreux accidents occasionnant des milliers de morts, de blessés et d’importants dégâts matériels. L’une des principales causes de ces accidents est l’occupation anarchique des abords des routes tant en zones urbaines que rurales pour des activités diverses (commerciales, artisanales, industrielles…). Ces espaces sont devenus pour certains des garages pour les véhicules en panne», déplore le gouvernement.
Selon la note, cette mesure entre en vigueur à compter du 1er novembre et tout contrevenant sera sanctionné conformément à la réglementation en vigueur.