Visite du 1er ministre au Port sec et au musée de bobodioulasso

Publié le mercredi 5 juillet 2023 | aOuaga.com

© Autre presse par DR
Bobo-Dioulasso : Le Premier ministre visite le port sec, le musée communal Sogossira Sanon et ADIPROD Industrie

Le premier ministre Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambela à Bobo-Dioulasso a effectué plusieurs visites notamment au port sec multimodal et au musée communal Sogossira Sanon.

Bâti sur un terrain de 120 hectares, le port sec multimodal de Bobo-Dioulasso à été le premier point de la visite du premier ministre. Il s’est dit enchanté au regard des investissements et de la vision du port.

De ce fait, le premier ministre a laissé entendre les quelques projets mis en œuvre pour une plus grande exploitation et un développement de la zone.

« Nous avons le projet de réfection de la route Bobo-Orodara, jusqu’au Mali. Ce qui va fluidifier et accroître le trafic. Nous avons aussi le projet du chemin de fer Bobo-Dioulasso-Sikasso-Bamako. Ce qui va donner plus de trafic et d’envergure au port sec. Il y a également l’aéroport international de Bobo-Dioulasso qui est dans une phase d’agrandissement et de modernisation. Cela va accroître le trafic et le besoin du port sec. Nous avons aussi le projet d’autoroute Ouagadougou-Bobo-Dioulasso qui est en négociation" a-t-il martelé.

Par la suite, cap a été mis sur le musée communal Sogossira Sanon, autrefois appelé musée provincial du Houet.

Situé à Bolomakoté, ce musée est l’un des plus visités de Bobo-Dioulasso.

Il a vu le jour il y a de cela 33 ans, et a pour mission de collecter, promouvoir, valoriser, tous les éléments du patrimoine culturel et historique des communautés de l’Ouest, en particulier et du Burkina Faso de façon générale et de les exposer.

Ce fut également une satisfaction pour le premier ministre car selon lui les pièces qui y sont exposées relate l’histoire du pays.

Avant de clore sa visite, Dr Apollinaire Joachimson Kyélèm de Tambela s’est rendu dans des entreprises de production locale qu’il a félicité pour le travail qu’ils effectuent dans leur pays et a par la même occasion incité les burkinabé à consommer les produits de ces entreprises et de toute autres entreprises locales en général.

F.Y

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