Assassiné il y a tout juste 25 ans, le capitaine Thomas Sankara aimait reprendre à son compte cette phrase - que beaucoup lui attribuent : "On peut tuer un homme mais pas ses idées". Les jeunes Burkinabè ont reçu le message cinq sur cinq…
15 octobre 1987-15 octobre 2012 : voici 25 ans que Thomas Sankara, président du Burkina Faso a été assassiné ; 25 ans, c’est aussi la moyenne d’âge de la génération de Burkinabè qui n’a connu que le régime de Blaise Compaoré, arrivé au pouvoir en enjambant le cadavre de son compagnon révolutionnaire. Et si la jeunesse a toutes raisons d’ignorer le souvenir de Sankara, c’est l’inverse qui se produit. Plus que jamais, elle entretient le souvenir du capitaine comme si elle avait vécu son époque.... suite de l'article sur Jeune Afrique