Dans une résolution adoptée jeudi, les députés condamnent le coup d’État militaire au Burkina Faso et expriment leur préoccupation face aux allégations de violations des droits humains.
Le coup d’État militaire du 30 septembre, le deuxième en un an, remet en cause le retour progressif à l’ordre constitutionnel, déclarent les députés, qui demandent le retour immédiat d’un gouvernement civil.
Ils appellent le prochain gouvernement à respecter le calendrier prévu pour l’organisation d’élections inclusives et transparentes d’ici au 1er juillet 2024.
Profondément préoccupés par les allégations continues d’atteintes aux droits humains, les députés exhortent le prochain gouvernement à permettre à tous, y compris aux groupes minoritaires, d’exercer leurs droits civils et politiques.
Intensification des campagnes de désinformation russes contre les missions et opérations de l’UE en Afrique
La population du Burkina Faso a subi trop d’attaques violentes, souvent commises par des djihadistes, déclarent les députés, soulignant le fait que l’UE est prête à intensifier son engagement dans le pays.... suite de l'article sur Autre presse