Le Burkina Faso commémorait ce jeudi 1er septembre, en différé, la journée internationale du souvenir aux victimes du terrorisme. Depuis 2015, le pays subit le diktat des groupes armés qui occupent au moins 40 % du territoire. Les familles des victimes en ont profité pour essayer d’attirer l’attention du président Paul Henri Sandaogo Damiba sur les mesures de prise en charge médicale et financière des blessés et des familles de victimes du terrorisme.
Avec notre correspondant à Ouagadougou, Yaya Boudani
Les familles des victimes du terrorisme n’ont pas caché leur déception face au président de la transition, qui assistait à la commémoration sur le thème « Soutien aux victimes du terrorisme : un droit pour les victimes et un devoir pour l’État et pour la communauté ». Elles demandent un recadrage de la gestion de l’indemnisation allouée aux soldats tombés sur le champ de bataille.... suite de l'article sur RFI