Front de libération nationale :«C’est Dieu qui a voulu que Damiba soit président et il faut le soutenir» (Mathias Tankoano)

Publié le jeudi 18 aout 2022 | aOuaga.com

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Mathias Tankoano, coordonnateur du M21 et d`autres camarades

Ce jour 18 août 2022, a vu le jour à Ouagadougou, le Front de libération Nationale (FNL). Il s’agit d’un regroupement d’une soixantaine d’organisations de la société civile, mis en place par Mathias Tankoano, coordonnateur du M21 et d’autres camarades. Comme l’indique son nom, le FNL entend apporter une solution salvatrice à la situation précaire du pays.

« Le FLN est un regroupement de patriotes témérairement et indéfectiblement engagés dans la lutte sans merci pour la restauration du territoire national, fusse t-il au prix du sacrifice suprême », ainsi se présente le nouveau né des regroupements d’associations nourrissant le même objectif.

Le Front de libération Nationale (FNL) qui regroupe 62 OSC se présente comme l’espoir de tout un peuple et sera conduit par des leaders charismatiques et de grande notoriété issus d’organisations de la société civile réputées. « Le peuple demande encore dans quelle organisation sérieuse il pourra se convaincre d’une véritable alternative de salut.

C’est pour répondre à ce besoin pressant du peuple que le FLN a été pensé et porté sur les fonts baptismaux pour servir concrètement et effectivement la noble cause de la libération du territoire nationale », a indiqué le porte-parole, Mathias Tankoano.
Avec pour slogan : Ma patrie d’abord, le Front appelle l’ensemble des Burkinabè à s’unir pour sauver la Nation commune. A cet effet, toutes et tous doivent, selon Marcel Kafando, aujourd’hui s’aligner derrière les autorités de la transition, et apporter un soutien aux FDS et aux VDP qui assurent la sécurisation du territoire.
« Celui qui dit que l’armée ne monte pas en puissance contribue à l’avancée du terrorisme », a t-il martelé. A propos du président Damiba, il dira que c’est Dieu qui a voulu qu’il soit au pouvoir. « Ne fais pas un coup d’Etat qui veut mais qui peut », a soutenu Marcel Tankoano.

Halima K

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