Au Burkina Faso, le président de la transition Paul Henri Sandaogo Damiba a déclaré, vendredi 20 mai, devant les Forces vives de la région des Hauts Bassins, à Bobo Dioulasso, qu'il s'opposait au dédommagement des victimes de l'insurrection populaire et du massacre de Yirgou. Les premières réactions sont très critiques.
Près de 200 personnes avaient été tuées par des milices civiles, à Yirgou, dans la province de Sanmatenga, dans le Centre-Nord, le 1er janvier 2019.... suite de l'article sur RFI