Des prières chrétiennes retentissantes résonnent chaque jour comme un chant, alors que les proches des hommes piégés il y a un mois dans une mine du Burkina Faso tentent désespérément de ne pas perdre espoir.
Il a fallu 31 jours à l'équipe de secours pour atteindre la première chambre de sauvetage dans laquelle les mineurs disparus auraient pu se réfugier pour échapper aux eaux de crue qui ont englouti la mine de zinc de Perkoa, propriété du Canada, après des pluies torrentielles inattendues le 16 avril.... suite de l'article sur Autre presse