Après le coup d’État de lundi au Burkina Faso, les chefs d’État de la Cédéao se sont réunis ce vendredi en sommet extraordinaire. L’organisation a suspendu le pays de ses instances, demandé la libération du président Kaboré ainsi que des autres responsables arrêtés.
Comme pour le Mali et la Guinée, le Burkina Faso est à son tour suspendu de toutes les instances de la Cédéao. Une sorte de passage obligé de l’organisation sous-régionale après tout coup d'État, qui veut toutefois rester « prudente et ne pas se précipiter », confie un participant au sommet.... suite de l'article sur RFI