Alors que la COP26 ouvre ses portes au Scottish Event Campus de Glasgow et qu’un sommet des chefs d’État doit se tenir les 1er et 2 novembre, le continent attend plus que jamais un engagement des pays riches pour financer sa réponse au changement climatique.
Payer pour polluer, être « récompensé » si on ne pollue pas ou peu, financer la transition de ceux qui ont le moins de ressources, tenir ses promesses en termes de limitation du réchauffement climatique… Autant d’exigences qui, de manière prosaïque, résument les attentes du continent africain à la 26e conférence des Nations unies sur le changement climatique, qui s’est ouverte ce dimanche 31 octobre à Glasgow, en Écosse.
Et c’est bien parce que l’Afrique ne joue qu’un rôle mineur dans le changement climatique de la planète que la question des mesures d’adaptation pour en limiter l’impact est centrale pour le continent. Celui-ci représente en effet 20 % de la population mondiale, mais n’est responsable que de 3 % des émissions de CO2.... suite de l'article sur Jeune Afrique