Critiquable par certains aspects, le nouveau sommet Afrique-France qui s’est tenu les 8 et 9 octobre à Montpellier pourrait, dans sa forme, servir de modèle de débat démocratique intergénérationnel entre les présidents et la jeunesse du continent.
Déstabilisation politique, soutien à des régimes autoritaires, restitution des œuvres d’art, questions migratoires, attitude paternaliste… Voilà quelques-uns des sujets abordés lors du débat original à onze contre un clôturant le travail de fond mené par l’historien camerounais Achille Mbembe et dont devraient découler plusieurs mesures pour la refondation des relations entre les pays africains et la France.... suite de l'article sur Jeune Afrique