Alors que l’Afrique paie un lourd tribut à la pandémie, les chefs d’État de la RDC, de Guinée, du Bénin ou encore du Sénégal son attendus à Abidjan ce 15 juillet pour un sommet sur le financement de l’Association internationale de développement (IDA). Axel van Trotsenburg, directeur général des opérations de la Banque mondiale, insiste sur les enjeux cruciaux de cette rencontre pour l’avenir du continent.
Alors que leurs pays sont confrontés à une troisième vague de Covid-19 aux effets sanitaires, sociaux et économiques tragiques, plus d’une douzaine de dirigeants africains vont se réunir ce jeudi 15 juillet à Abidjan pour formuler leurs plans de reprise économique, de création d’emplois et d’investissement dans le capital humain. J’ai hâte de les y rejoindre et je réaffirmerai résolument l’attachement du Groupe de la Banque mondiale à la transformation de l’Afrique.
41 milliards de dollars d’aides
En pleine pandémie, l’axe d’intervention de l’Association internationale de développement (IDA), l’une des institutions qui forment la Banque mondiale, est double. Nous avons entrepris de doubler l’aide d’urgence apportée à l’Afrique pour faire face à la crise, notamment en contribuant à renforcer les systèmes de santé et à financer l’acquisition et le déploiement de vaccins. Parallèlement, nous approfondissons notre soutien aux efforts déployés par les pays dans le cadre de leurs plans pour une reprise forte, verte et inclusive.... suite de l'article sur Jeune Afrique