Dans le nord du Burkina Faso, au moins 160 civils ont été tués dans la nuit de vendredi à samedi dans l'attaque la plus meurtrière enregistrée depuis le début des violences jihadistes en 2015. L'attaque a "d'abord visé le poste" de supplétifs de l'armée, puis les maisons d'habitants, selon une source sécuritaire.
Plus d'une centaine de civils ont été tués dans le nord du Burkina Faso, à Solhan, dans la nuit du vendredi 4 au samedi 5 juin, l'attaque la plus meurtrière enregistrée dans ce pays depuis le début des violences jihadistes en 2015, a-t-on appris de sources sécuritaires et locales.... suite de l'article sur France 24