L'organisation État islamique a revendiqué samedi l'attaque commise mercredi contre l'armée burkinabè, dans le nord du pays. Au total, 14 soldats ont été tués dans une embuscade, en pleine campagne électorale pour la présidentielle et les législatives.
L'organisation État islamique (EI) a revendiqué, samedi 14 novembre, l'une des plus importantes attaques commises contre l'armée burkinabè, dans laquelle 14 soldats ont été tués, mercredi, dans le nord du pays en pleine campagne électorale pour la présidentielle et les législatives du 22 novembre.
Représenté au Sahel par le groupe armé jihadiste État islamique au Grand Sahara (EIGS) d'Abou Walid Al-Sahraoui, l'EI a revendiqué l'embuscade dans un message en arabe diffusé par son agence de propagande sur les réseaux sociaux.
Tandis que le bilan officiel fait état de 14 morts dans cette embuscade tendue contre une "patrouille militaire" sur l'axe Tin Akoff-Beldiabé (province de l'Oudalan), le groupe jihadiste affirme dans sa revendication avoir tué 20 soldats burkinabè.... suite de l'article sur France 24