Depuis l’annonce de ma candidature à la magistrature suprême de mon pays, ma priorité s’est portée essentiellement sur le bien-être de mes compatriotes. J’ai œuvré dans le silence « SANS BRUIT » pour prendre en compte les préoccupations de mon peuple dans toute sa diversité, afin de proposer des solutions immédiates et à long terme.
Peuple du Faso, ça été un plaisir de parcourir villages et villes (mon équipe et moi) pour recueillir vos doléances et faire de cela un projet de société dénommé « LE GRAND FASO ».
En cette période de campagne, au moment où tous s’agitent, mes actions restent « SANS BRUIT » et efficaces.
Mon peuple me connaît et je connais mon peuple pour sa bravoure face à l’intimidation, sa détermination à voir le changement et son intégrité à ne pas se laisser corrompre.
Je serais à la magistrature suprême avec mon peuple et cela « SANS BRUIT ».
Les richesses culturelles de notre pays alliées à sa situation géographique font du Burkina Faso l’une des principales destinations touristiques de l’Afrique de l’Ouest.
Situé à la lisière de la savane et du sahel, notre pays est un pôle d’attraction touristique pour des milliers de personnes qui rêve de vivre de nouvelle expérience. Malheureusement, la situation sécuritaire joue à la défaveur de notre secteur touristique.
Les mois de juillet et d’août constituaient la période de tourisme, mais l’intervalle de novembre à avril avait commencé à s’imposer à cause de la programmation des grandes manifestations culturelles et de la chasse qui a lieu dans ce laps de temps. Encore hélas, mille fois hélas, les autorités Étatique n’ont pu garantir la sécurité du pays pour favoriser le développement de ce secteur d’activité qui regorge un grand potentiel.
Parce que passionné d’art et de culture et croyant à l’impact du tourisme dans l’économie de notre pays, son Excellence Kadré Désiré OUEDRAOGO, met un point d’honneur sur le développement de ce secteur économique. Avec le projet de société « LE GRAND FASO » le tourisme aura un nouveau souffle et un nouveau départ, bien sûr avec la sécurité au cœur de la relance du secteur touristique.
Les terres à vocation agricole sont estimées à 11,8 millions d’hectares, mais seulement 5,7 millions d’hectares sont cultivés.
L’agriculture burkinabé est très majoritairement une agriculture familiale, malheureusement délaissée par le pouvoir en place, avec 900 000 exploitations environ de moins de 5 ha, soit 72 % du total des exploitations.
Le secteur agricole burkinabé souffre d’une faible productivité en raison de plusieurs facteurs dont le gouvernement actuel reste incompétent : faiblesse des infrastructures notamment des routes d’accès aux zones rurales, manque d’organisation des filières (hors celle du coton), faiblesse des investissements, insuffisance de formation des ressources humaines.
Une fois à la tête du Burkina Faso, le candidat Kadré Désiré OUEDRAOGO apportera un changement radical au profit du monde agricole pour le repositionnement de ce potentiel mal exploité.