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Elections, éducation au Burkina et libération d’otages au Mali, en couverture des quotidiens burkinabè

Publié le vendredi 9 octobre 2020  |  AIB
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© Autre presse par DR
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Les journaux burkinabè de ce vendredi continuent de commenter la libération des otages au Mali, sans oublier l’actualité nationale relative à l’éduction et aux élections couplées du 22 novembre prochain.

«Elections 2020 : Ce que les Burkinabè attendent du prochain président», arbore L’Observateur Paalga, le doyen des quotidiens privés du Burkina Faso qui rappelle que dans moins d’un mois et demi, les Burkinabè se rendront dans les urnes pour élire le président du Faso.

Le journal publie les résultats d’une étude de la Convention des organisations de la société civile pour l’observation domestique des élections (CODEL), rendus publics, mercredi dernier au cours d’une conférence de presse.

Pour sa part, le quotidien national Sidwaya informe que la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a entamé, hier jeudi, la validation des candidatures aux législatives du 22 novembre.

A ce sujet, le journal privé Le Pays précise que la CENI, après avoir fini de publier, dans la soirée du 7 octobre dernier, la liste provisoire des candidats à l’élection présidentielle, s’est attaquée à la validation des listes provisoires aux législatives.

Selon le confrère, les listes des législatives soumises à la validation de la CENI sont proposées par 132 partis et formations politiques ainsi que par des regroupements d’indépendants.

Le même journal publie une interview de Boukary Kaboré, un des candidats à la présidentielle, recalé par la CENI, qui déclare : «Je vais faire recours au Conseil constitutionnel».

Evoquant la crise relative aux engagements de l’Etat dans le secteur de l’éducation, Le Pays fait remarquer que «la CNSE (Coalition nationale des syndicats de l’éducation, Ndlr) accuse le gouvernement».

A ce propos, Le Quotidien (Privé) affiche en première page, les propos d’un des responsables syndicaux de la CNE, Siaka Traoré qui, à propos de leur plateforme revendicative, estime que «le gouvernement actuel n’a jamais voulu résoudre les problèmes réels des travailleurs».

En actualité internationale, Sidwaya sous le titre : «Mali : L’opposant Soumaïla Cissé enfin libre», relate que «deux otages, la française Sophie Pétronin et le chef de l’opposition malienne, Soumaïla Cissé ont été libérés, le jeudi 8 octobre 2020».

De son côté, L’Observateur Paalga aborde le sujet dans sa rubrique ‘’Grille de lecture’’, avec le titre : «Libération Soumaïla Cissé et Sophie Pétronin : cette fois, c’est bien officiel».

Le journal signale que les deux captifs devaient être libérés depuis le lundi, «une sorte de monnaie d’échange contre la libération, le week-end dernier, d’une centaine de terroristes qui étaient détenus dans les prisons maliennes».

Pendant ce temps, Aujourd’hui au Faso, un autre quotidien privé, met en exergue : «Libération de Soumaïla Cissé et Sophie Pétronin : quel avenir pour le président de l’URD (Union pour la république et la démocratie, Ndlr)?».

Pour l’éditorialiste, «avec ce retour inattendu, Soumaïla Cissé dont la libération avait été associée aux revendications de la coalition hétéroclite du Mouvement du 5 juin, fer de lance de la contestation qui a conduit au coup de force du 18 août dernier, retrouve un pays qui se cherche au propre comme au figuré».

Agence d’information du Burkina
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