Droits humains: Le président de la CNDH chez le Chef d’Etat-Major Général des Armées (CEMGA)

Publié le mardi 25 aout 2020 | Netafrique.net

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Ce lundi 24 août 2020, Monsieur le Président de la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH), Monsieur Kalifa Rodrigue Namoano accompagné d’une forte délégation, a rendu une visite de courtoisie à Monsieur le Chef d’Etat-Major Général des Armées (CEMGA).

Ce lundi 24 août 2020, Monsieur le Président de la Commission Nationale des Droits Humains (CNDH), Monsieur Kalifa Rodrigue Namoano accompagné d’une forte délégation, a rendu une visite de courtoisie à Monsieur le Chef d’Etat-Major Général des Armées (CEMGA).
Cette visite avait pour objectifs, d’une part, de présenter la CNDH au CEMGA et d’autre part, d’explorer les pistes de partenariat entre les deux institutions pour une meilleure protection des droits humains.
Le Président de la Commission a, à l’entame des échanges, traduit à l’ensemble des forces armées nationales tout le soutien de son Institution dans l’exécution de leurs missions de sécurisation du territoire national.
Il a par la suite fait observer une minute de silence à la mémoire de toutes les victimes FDS et civiles des attaques terroristes.
Moïse MINOUNGOU, le Chef d’état-major Général de l’Armée assisté de ses collaborateurs, a remercié la CNDH pour cette démarche, car cela va permettre à l’Armée de mieux connaitre l’Institution et ses missions.
En ce qui concerne les possibilités de partenariat, Monsieur le CEMGA a marqué la disponibilité de son Institution à collaborer avec la CNDH.
Il a du reste, relevé que le premier bénéficiaire de ce partenariat est de loin l’Armée au regard du contexte actuel.
Pour la matérialisation dudit partenariat, les deux personnalités ont convenu que leurs services techniques se concerteront.
Avant de prendre congé de ses hôtes, Monsieur le Président de la CNDH a remercié Monsieur le CEMGA pour sa disponibilité et a émis le vœu que le partenariat entre la CNDH et l’Armée nationale soit très fructueux pour le renforcement de l’effectivité des droits humains et le bonheur des populations du Burkina Faso.

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