Au Burkina Faso, après un mois de quarantaine, il est désormais possible de voyager dans plusieurs villes du pays, notamment Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. Cette quarantaine était difficilement vécue par les opérateurs économiques dont les mouvements étaient limités.
Avec notre correspondant à Ouagadougou, Yaya Boudani
Depuis deux mois, l’économie est à l’arrêt. Les unités industrielles ne tournent plus, nous explique Mamady Sanoh, président du groupement des professionnels industriels. Il fallait trouver une solution pour éviter une asphyxie économique : « C’est d’ouvrir les portes, c’est d’ouvrir les transports, c’est d’ouvrir le flux… »... suite de l'article sur RFI