Lutte contre le Coronavirus: Roch Kaboré aux côtés du personnel soignant

Publié le samedi 18 avril 2020 | aOuaga.com

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Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a visité, le Centre hospitalier universitaire de Tengandogo (CHU-T), l’hôpital réquisitionné pour le traitement des malades du coronavirus
Ouagadougou, 18 avril 2020

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a visité ce samedi 18 avril 2020, le Centre hospitalier universitaire de Tengandogo (CHU-T), l’hôpital réquisitionné pour le traitement des malades du coronavirus. Le chef de l’Etat a pu prendre toute la mesure des conditions de prise en charge des malades du Covid-19 et a encouragé le personnel soignant.
« Je voudrais, sans fausse modestie, féliciter et saluer l’action quotidienne de l’ensemble du
personnel, qu’il soit du secteur public ou privé qui, au quotidien, travaille, se bat pour donner
la santé à nos compatriotes », a déclaré le président du Faso à l’issue de la visite.
Cette visite tenait à cœur au premier des Burkinabè, Roch Marc Christian Kaboré, qui n’a pas manqué de souhaiter prompt rétablissement aux malades.
Au cours de sa visite, le chef de l’Etat a vu toute la chaîne de prise en charge des malades. Ce
qui lui a permis d’apprécier les efforts accomplis pour améliorer le traitement des patients du Covid-19. « Je comprends le bouillonnement intellectuel et toutes les polémiques autour du coronavirus, le principal, c’est de soigner les malades, c’est de trouver des moyens pour que cette maladie ne se propage pas, c’est que nous puissions booter définitivement le Covid-19 du Burkina Faso et du monde en général », a-t-il affirmé. Il a, de ce fait, invité les Burkinabè à se départir de la critique facile et à converger vers une recherche de solutions communes
contre la propagation de la maladie.
C’était l’occasion pour lui de rappeler la nécessité des mesures barrières à ces compatriotes. « Nous devons apprendre à respecter une certaine discipline, une certaine hygiène de vie si nous voulons collectivement nous en sortir, car cette maladie n’est pas de la fiction, elle est réelle ».

Halima k.

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