Un arrêt de travail observé suite à l’affectation par leur ministère de la Communication de 320 travailleurs dans d’autres régions du pays. Pour ces personnels, en lutte depuis plusieurs mois pour une amélioration de leurs conditions de vie et de travail, ces affectations ne sont ni plus ni moins qu’une sanction.
Depuis 2013, Guezouma Sanogo, président de l’Association des journalistes du Burkina, travaille pour la radio publique. Mais il vient d’être redéployé à la direction des ressources humaines du ministère de la Communication : « Moi, je pense que c’est la mise en exécution des menaces que le ministre de la Communication a longtemps proférées contre les travailleurs des médias publics en lutte pour l’amélioration leurs conditions de vie et de travail. »... suite de l'article sur RFI