La date des élections a été annoncée mercredi 5 février après l’hebdomadaire conseil par le ministre de l’Administration du territoire.
Cette décision permet à la Commission électorale nationale indépendante de travailler pour la confection des listes électorales, estime le ministre Siméon Sawadogo. Dès lundi, la Céni lancera l’opération de révision de la liste électorale. Mais reste à trancher le cas des personnes déplacées suite aux attaques terroristes.
Du côté du gouvernement, même si la question n’est pas encore vidée par les protagonistes, la volonté est de faire voter les déplacés dans leur ville ou village d’origine. « Les déplacés seront enrôlés au cours de la révision de la liste électorale » dit un membre du gouvernement. « Il n y a aucune raison de les exclure » martèle –t-il... suite de l'article sur RFI